LE PATRIMOINE DES COMMUNES DU DOUBS
Collaborateurs : Ouvrage collectif
Éditeur : Flohic
Prix : Se renseigner en librairie
Nombre de pages : 1392 pages (2 Tomes)
Année : 2000
Chaque ville, chaque village, a une grande et une petite histoire, une richesse et une originalité souvent insoupçonnées ou méconnues.
Un foisonnement d'indices témoigne de la vie et du passé parfois oubliés de notre commune.
Églises, châteaux, maisons, tableaux, objets d'art, patrimoine agricole ou maritime, constituent un cadre quotidien qui trop souvent échappe à l'attention.
En 1 392 pages, 6 000 notices et 6 000 photographies en couleurs, Le Patrimoine des Communes du Doubs porte un regard nouveau sur l'identité et le patrimoine de chacune des 594 communes du département.
Recueil encyclopédique, ouvrage de référence, beau livre à feuilleter pour le plaisir, guide de promenades érudites ou d'agrément, Le Patrimoine des Communes du Doubs apporte la connaissance et le plaisir de la découverte.
Jean-Louis Clade présente le canton de Pierrefontaine-les-Varans
Monastère de Consolation, XVIIe siècle. Ce monastère est édifié à l'initiative de Marie-Henriette de Cusance et de Vergy, en exécution des dernières volontés de son mari, Ferdinand-François-Just de Rye, marquis de Varambon. Les pierres des vestiges de Châteauneuf-en-Vennes sont utilisées par les minimes pour la construction du couvent. En 1970, les religieux quittent le bâtiment, qui est vendu comme bien national au citoyen Oudry. En 1833, il accueille un séminaire, qui est suspendu après l'adoption de la loi de la séparation de l'Église et de l'État. Le séminaire reprend ses activités en 1920, et en 1933, les écoles religieuses d'Ornans et de Belvoir y sont transférées. En 1981, l'édifice devient un centre spirituel. L'ancien séminaire est loué aux randonneurs et aux camps de vacances ...
Musée de l'outil à bois ancien (Tour à bois)
Fin du XIXe siècle et début du XXe siècle. Meubles Perrin Route des Microtechniques. Orchamps-Vennes
Ce tour à bois est entraîné par une pédale et une roue, cette dernière étant fixée au plafond de l'atelier. Il appartenait à Léon Viprey, des Erauges, un hameau de Guyans-Vennes, où de nombreux paysans-ouvriers étaient établis.